(SoirInfo -- Mercredi le 11 Fevrier, 2004)-- Madeleine TANOU --
L'alcool a des corollaires bien souvent désagréables. Z. Marcel et P. Lazare l'ont démontré dans la nuit du samedi dernier 07 février à Abobo. Le jour des faits, les deux enseignants, sur invitation d'amis, se retrouvent pour une petite fête. L'alcool y coule à flots. Les deux hommes apparemment épuisés, que de rentrer chez eux à Yopougon, décident de poursuivre la partie de Bacchus dans un maquis. Toujours à Abobo. Là aussi, de nombreuses bouteilles de bière sont ingurgitées par les deux éducateurs qui semblent se lancer le défi de celui qui aurait plus de ressources pour tenir "la route". Aux environs de 21h, des dérives qui ne sont que la preuve patente de leur état d'ébriété, sont constatées dans leur comportement. S'ils n'entonnent pas à tue-tête et de la plus mauvaise manière les chansons à la mode, ils taquinent les serveuses dont ils se permettent de caresser au passage les rondeurs. Cette attitude d'homme de mauvaise éducation, coûte même une bonne baffe à P. Lazare. Mais cela ne lui dit rien du tout. Bien au contraire. Quelques instants plus tard, c'est son ami et collègue Marcel qui sort du maquis pour se soulager d'un besoin pressant. A son retour, il tient à ses bras une prostituée traînant là en quête de clients. Il installe la fille de joie à leur table et tente maladroitement de la séduire. Son ami en profite pour lui lancer, entre deux gorgées, qu'il est minable dragueur. Les deux hommes ivres, franchissent tout de suite le pas de la simple dérive langagière, pour s'empoigner comme des lutteurs de lointaines contrées. Tenant difficilement sur leurs jambes, ils se mettent à tout renverser non sans s'envoyer des coups qui chaque fois, manquent la cible. De bonnes volontés interviennent pour mettre un terme à leur ridicule bagarre. Entre temps, la prostituée pour laquelle ils se battaient, a profité de la confusion pour disparaître avec le portable de Lazare. Plus tard, les deux hommes sont expulsés du maquis. Et une fois dehors, ils continuent de se lancer des insanités tout en poursuivant le chemin ensemble. C'est cela les effets de l'alcool consommé sans modération.
L'alcool a des corollaires bien souvent désagréables. Z. Marcel et P. Lazare l'ont démontré dans la nuit du samedi dernier 07 février à Abobo. Le jour des faits, les deux enseignants, sur invitation d'amis, se retrouvent pour une petite fête. L'alcool y coule à flots. Les deux hommes apparemment épuisés, que de rentrer chez eux à Yopougon, décident de poursuivre la partie de Bacchus dans un maquis. Toujours à Abobo. Là aussi, de nombreuses bouteilles de bière sont ingurgitées par les deux éducateurs qui semblent se lancer le défi de celui qui aurait plus de ressources pour tenir "la route". Aux environs de 21h, des dérives qui ne sont que la preuve patente de leur état d'ébriété, sont constatées dans leur comportement. S'ils n'entonnent pas à tue-tête et de la plus mauvaise manière les chansons à la mode, ils taquinent les serveuses dont ils se permettent de caresser au passage les rondeurs. Cette attitude d'homme de mauvaise éducation, coûte même une bonne baffe à P. Lazare. Mais cela ne lui dit rien du tout. Bien au contraire. Quelques instants plus tard, c'est son ami et collègue Marcel qui sort du maquis pour se soulager d'un besoin pressant. A son retour, il tient à ses bras une prostituée traînant là en quête de clients. Il installe la fille de joie à leur table et tente maladroitement de la séduire. Son ami en profite pour lui lancer, entre deux gorgées, qu'il est minable dragueur. Les deux hommes ivres, franchissent tout de suite le pas de la simple dérive langagière, pour s'empoigner comme des lutteurs de lointaines contrées. Tenant difficilement sur leurs jambes, ils se mettent à tout renverser non sans s'envoyer des coups qui chaque fois, manquent la cible. De bonnes volontés interviennent pour mettre un terme à leur ridicule bagarre. Entre temps, la prostituée pour laquelle ils se battaient, a profité de la confusion pour disparaître avec le portable de Lazare. Plus tard, les deux hommes sont expulsés du maquis. Et une fois dehors, ils continuent de se lancer des insanités tout en poursuivant le chemin ensemble. C'est cela les effets de l'alcool consommé sans modération.
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